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Interview d'Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, sur les « droits sexuels » des enfants ?!

Dernière mise à jour : 22 févr. 2022


C'est à l'occasion de la sortie de son livre, " L’imposture des droits sexuels des enfants", qu'Ariane Bilheran répond à son interlocuteur québecquois lors de cette interview vidéo.


Le "droit sexuel" des enfants n'est pas une notion évidente à penser. Pour une raison toute simple, elle défie l'entendement le plus basique dans la mesure où l'enfant n'est pas un être construit sexuellement. Et pourtant, cette notion de "droits sexuels" des enfants commence à diffuser dans la société, notamment par le biais de canaux institutionnels.


Pour appréhender de quoi il en retourne un peu plus précisément, il convient d'écouter ce qu'a à en dire une professionnelle du sujet.

Ariane Bilheran est l'une de ces professionnelles. Normalienne, psychologue clinicienne, docteur(e) en psychopathologie, spécialisée dans la psychologie du pouvoir déviant (harcèlement, manipulation, tyrannie, totalitarisme et ses pathologies : paranoïa, perversion...) et du pouvoir juste (autorité, reprise de son pouvoir personnel...), elle nous parle d'un sujet qu'elle connait bien pour l'étudier depuis des années.


Dans cette vidéo, véritable cri (averti) d’alerte, Ariane Bilheran, nous montre l’horreur de l’idéologie des " droits sexuels " pour les enfants. Qui voudraient faire accéder les enfants à des droits que l’on croyait dévolus à des adultes ?

Sous une présentation dans la pure tradition de rédaction des traités et préconisations des organismes mondiaux (sur le mode " c’est pour votre bien "), on comprend que la " Déclaration des droits sexuels " promue par l'Organisation Mondiale de la Santé (l'OMS) est un document qui cherche à nous abuser.

En y regardant de plus près, on croit à un cauchemar car le texte garantit surtout le " droit " des pédophiles à avoir, sans risque, des relations sexuelles avec des mineur-es, sans crainte d’être inculpé.


Ariane Bilheran a enquêté sur les réseaux d’influence qui ont abouti à la rédaction de cette " Déclaration " dont les recommandations primeront sur le droit national de chaque pays signataire. Sous sa plume, on voit apparaître le travail intensif des groupes de pression masculinistes et pro-pédophiles qui prônent la perpétuation de la domination du mâle sur la femme et sur sa progéniture.


On ne peut que difficilement être plus claire.

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